Mettre en place des mécanismes, outils et règles pour mettre en place une économie circulaire à l’échelle de Bruxelles pour répondre aux problématiques relatives : aux déchets ; la réduction des émissions C02 ; la réduction des consommations d'énergies ; le développement de produits moins polluant ; une simplification des flux logistiques et la mise en place d’un business model intelligent et dynamique qui s’adapte au contexte des parties prenantes, une idée suggérée par Stéphane (Etterbeek)
Bruxelles est la capitale de l'Europe qui est un véritable carrefour des entreprises Européennes.
L'Europe lance des initiatives sur l'économie circulaire et prendre Bruxelles comme laboratoire pour expérimenter la mise en place un modèle d'économie circulaire pourrait être une bonne référence.
Les villes sont par définitions le bon écosystème pour faire ce type de test car elles regroupent la grande majeure partie des acteurs : depuis le consommateur final, les entreprises du secteur tertiaire et secondaires (qui représentent respectivement 69% et 15% du PIB). Les villes bénéficient d’une infrastructure développées et complexes utilisées par différents ces d’acteurs. Les villes sont en mouvement 24h/24h.
Réseaux
S’il n'est pas possible de démontrer la faisabilité de mettre en place l 'économie circulaire au sein d'un ville, comment cela peut se faire au niveau d'un pays voir au niveau de l’Europe ?
Il s’agit d’offrir un environnement collaboratif qui permette de servir tous les acteurs qui interviennent aux différentes étapes des processus qui supportent l’économie circulaire. Depuis la création du produit, en passant par l’adaptation des processus de fabrications, la logistique pour acheminer les matières premières et livrer les produits, jusqu’à la consommation des produits et leur recyclage pour être détruits pour produire de l’énergie, réutilisés / leur donner une 2nd vie ou être réutiliser pour fabriquer de nouveaux matériaux.
Un des objectifs de l’économie circulaire est de réaliser des économies. Cela peut se traduire par des économies d’énergies, réduction des coup de transport, d’émission de CO2 etc. . Mais au final ce sont autant d’économies qui pourraient équilibrer le surcout de la mise en place de cette approche.
Il s’agit d’innover pour mettre en place un mécanisme financier efficace qui encourage à aller vers ce modèle. Motivation financière : La question du Business model à mettre en place arrive assez tôt dans le débat car la mise en place d’une telle économie implique un surcout qu’il va falloir repartir, absorber suivant un mécanisme à définir. Quelles concessions et obligations fau- il accepter ? Pour cela il faut renforcer le la réglementation pour supporter une telle démarche.